Un endroit d’où l’on
peut facilement décoller, et où l’on pourra
revenir, le cas échéant, pour atterrir.
Contrairement au parapente, le paramoteur se satisfait d’un
terrain plat ou possédant une légère
dénivelée, aussi dégagé que possible
et avec l’autorisation du propriétaire.
Comme pour le parapente, les décollages se font de
terrains privés et non d’aérodromes.
Une voile immatriculée
Une voile de parapente adaptée,
fonction du poids du pilote équipé (hors poids
du paramoteur) et immatriculée.
Le paramoteur s’élevant grâce au moteur,
il n’est pas nécessaire de choisir une voile performante
: les voiles rustiques de finesse modeste, permettent une meilleure
vitesse horizontale, et une meilleure stabilité, au prix
d’une légère surconsommation de carburant.
La voile
Le
paramoteur
Un paramoteur
Un moteur avec une hélice,
une cage de protection et une sellette.
les accessoires
Les accessoires : casque, radio, téléphone
portable, chaussures montantes, combinaison, gants, variomètre,
compas, ainsi qu’un caméraman volant, qui vous
accompagne, pour rendre vos exploits impérissables (le
parachute de secours peut être adapté sur certains
paramoteurs).
Un paramotoriste volontaire
Un paramotoriste volontaire, bien
entraîné, disposant du brevet délivré
par la Direction Générale de l’Aviation
Civile, (à défaut, il doit être accompagné
d’un moniteur) muni d’une police d’assurances
(Responsabilité Civile au minimum).